Produits phytosanitaires
Avant 2017
Une vision dogmatique des produits phytosanitaires qu’il faudrait interdire sans se soucier de la réalité des agriculteurs. Agriculteurs, qui étaient caricaturés comme les « ennemis » de l’environnement et de la santé.
Nos convictions
Une vision : pas d’interdiction sans alternative. Nous accompagnons les agriculteurs pour trouver et développer des alternatives aux produits phytosanitaires.
Une méthode : s’appuyer sur la science.
Des résultats : – 93% de vente des substances les plus préoccupantes en 5 ans, doublement des surfaces en bio et multiplication par 20 des surfaces à Haute Valeur Environnementale (HVE).
Ce que nous avons fait
Nous avons réduit l’utilisation des produits phytosanitaires :
• Les ventes de produits phytosanitaires sont parmi les plus faibles de ces 10 dernières années.
Chiffre : 35 515 tonnes en 2019, 44 036 en 2020 contre 52 705 tonnes en 2017.
• Les ventes des substances les plus préoccupantes ont considérablement chutées.
Chiffre : – 93% en 5 ans pour les produits CMR1 (produits cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction) et -37% pour les produits CMR1 et CMR2.
• La France est la 1ère surface bio de l’Union européenne : les surfaces agricoles en bio ont doublé en 5 ans et plus de 50 000 agriculteurs sont engagés dans une démarche certifiée de transition agroécologique, soit près de 50% en plus qu’en 2017
Chiffre : 2,5 millions d’hectares en bio.
• Le nombre d’exploitations certifiées Haute Valeur Environnementale (HVE) a été multiplié par 30.
Chiffre : 25 500 exploitations certifiées en 2020 contre 789 exploitations certifiées en 2017.
• Les quantités de glyphosates vont réduire de 50% sur le quinquennat et 1/3 des exploitations s’en passent complètement.
Nous avons accompagné les agriculteurs
• Par l’aide à l’acquisition d’agroéquipements de substitution aux produits phytosanitaires via France Relance.
Chiffre : 245 millions d’euros pour l’acquisition de 26 000 matériels dont 86% relèvent de substitution à l’usage de produits phytosanitaires.
• Par le financement de la recherche d’alternatives aux produits phytosanitaires.
Exemple : pour les betteraves, 7 millions d’euros de fonds publics pour un budget global de 20 millions d’euros consacrés à la recherche d’alternatives aux néonicotinoïdes à l’horizon 2024.