Pour le bien-être animal

Avant 2017

Les animaux domestiques étaient considérés comme un bien parmi d’autres, ils étaient encore trop soumis à l’achat impulsif. Les actes de cruauté étaient peu poursuivis et peu de mesures avaient été prises pour améliorer les conditions d’élevage.

Nos convictions

Nous devons protéger les animaux. La lutte contre la maltraitance animale est un sujet au cœur des préoccupations des Français. Dès 2017, nous en avons fait une exigence, et ce alors que peu de partis politiques se saisissaient de la question.
Nous nous sommes appuyés sur la force du collectif en identifiant les solutions avec les agriculteurs, jamais contre. Nous avons poussé les filières à prendre toutes leurs responsabilités, à se structurer pour répondre à la demande sociétale, en étant à leurs côtés et en leur donnant les moyens pour parvenir à leurs objectifs.
Jamais un Gouvernement n’a autant agi en faveur du bien-être animal avec la loi visant à lutter contre la maltraitance animale, des investissements massifs dans les élevages et les abattoirs, la fin du broyage des poussins ou l’interdiction des spectacles de cétacés d’ici 2027.

Ce que nous avons fait

Pour les animaux domestiques :

• Nous améliorons les conditions de vie et d’adoption des animaux de compagnie avec un certificat d’engagement et de connaissance avant l’adoption et des soutiens à 330 refuges à hauteur de 14 millions d’euros via France Relance.
• Nous luttons contre les achats impulsifs et le trafic en encadrant la vente d’animaux en ligne et en interdisant les commerces de chiots et de chatons dans les animaleries à la fin de l’année prochaine (2023).
• Nous avons renforcé les sanctions dans la lutte contre la maltraitance animale en portant la peine à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende pour les sévices graves ou les actes de cruauté.

Pour la faune sauvage :

• Les spectacles de cétacés et la captivité des orques et des dauphins dans les delphinariums seront interdits en 2027.
• Les élevages de visons d’Amérique ont été interdits
• La détention d’animaux sauvages à des fins commerciales dans les cirques itinérants ou les émissions de télévisions seront progressivement interdits.

Pour l’élevage :

• Nous modernisons les abattoirs et nous renforçons les contrôles.

Chiffre : 181 abattoirs modernisés avec 115 millions d’euros du plan de relance ; 2 794 inspections menées dans les abattoirs en 2020 pour 278 mises en demeures, 7 suspensions d’activités et 11 procès-verbaux.
Exemple : l’abattoir du Haut-Doubs s’est modernisé grâce au financement à hauteur de 400 000 € de France Relance (sur 1 million d’investissement).

• Nous interdisons la castration à vif des porcelets en 2022.
• Nous interdisons le broyage des poussins mâles en 2022. La France est avec l’Allemagne le 1er pays à le faire.
• Nous développons les alternatives à la cage pour les poules pondeuses.

Chiffre : 64% des poules pondeuses sont élevées dans des systèmes alternatifs à la cage contre 37% en 2017.